Réforme compensatoire du logement : baisser le coût du logement pour compenser les effets néfastes du plan d’austérité Valmy EFP

Un vrai plan d’austérité casse en partie l’activité économique, moins d’aides sociales donc  moins de consommation (moins de croissance) , il faut donc compenser…

C’est le boulot de l’Etat, voire des collectivités locales de prendre le contrôle des dépenses incompressibles des ménages :

Le logement en fait grandement parti, voici un extrait de mes réformes conpensatoires :

 

Trois mesures phares destinées à baisser le coût du logement en France

La spéculation empêche les Français de se loger
convenablement,
+147 % d’augmentation du prix de l’immobilier depuis 15 ans,
c’est n’importe quoi à partir du moment où le pouvoir d’achat n’a pas suivi!!!

Résultat les Français voient leur budget logement s’envoler
sans véritable raison !!

L’Etat doit reprendre la main sur l’immobilier pour
contrecarrer la spéculation
, il faut pouvoir consacrer moins de dépenses
pour se loger et plus pour maintenir ou relancer la consommation qui ferait
tourner les usines les plus proches de préférence

Plus que le prix de l’immobilier , c’est le taux d’effort des
Français pour se loger qu’il faudrait descendre à 20% maxi du reven
u afin
de libérer du pouvoir d’achat pour d’autres dépenses…

 

La baisse de 30% et l’encadrement du prix moyen de
l’immobilier 

Il faut encadrer les prix de façon à ce que la dépense
mensuelle de logement des ménages propriétaires diminuent, l’idéal serait que
ce budget ne dépassent pas 20% des revenus
(comme pour les ménages les plus
riches)

Le gouvernement peut décréter rapidement une baisse de 30 %
pour revenir à un prix encadré
:une loi suffirait

Les agences immobilières pourraient déterminer une fourchette
de prix en fonction de l’état et de la situation du bien à vendre

Toute transaction passerait obligatoirement par
l’intermédiaire d’une agence immobilière :
cela permettrait de maintenir ou
de créer des emplois et de valider le prix de vente

Inconvénients :

Le propriétaire subirait seul la perte de valeur de son
bien par l’encadrement des prix
: cela est déjà le cas aujourd’hui avec le
dégonflement des bulles immobilières, on va pas quand même faire supporter ça
aux banques…

Avantages :

Les agences immobilières survivraient par l’obligation de
passer par elles pour réaliser une transaction

Gain de pouvoir d’achat des ménages pour la consommation donc
gain potentiel de croissance

Augmentation des transactions grâce à la baisse des prix…

 

La baisse des loyers de 20% et son encadrement

Les loyers ont pris 47% en 10ans , c’est trop par rapport à
l’augmentation du pouvoir d’achat des ménages durant la même période

Il faut encadrer les prix de façon à ce que la dépense
mensuelle de logement des ménages locataires diminuent, pour libérer du pouvoir
d’achat

Le gouvernement peut décréter rapidement une baisse de 20 %
pour revenir à un prix encadré
:une loi suffirait

Les agences immobilières pourraient déterminer une fourchette
de prix en fonction de l’état et de la situation du bien à louer

Toute transaction passerait obligatoirement par
l’intermédiaire d’une agence immobilière :
cela permettrait de maintenir ou
de créer des emplois et de valider le loyer

Inconvénients :

Le propriétaire subirait seul la perte de rentabilité de
son investissement locatif par l’encadrement des prix
: cela peut générer
une revente précipité du bien pour une question d’investissement non rentable
voire à perte

Les banques devront participer à l’effort des propriétaires
pour leur éviter une perte sur investissement

Peut générer un krach de l’immobilier par un explosion des
reventes obligées
, l’aide des banques est donc nécessaire pour éviter aux
ménages les pertes

Avantages :

Les agences immobilières survivraient par l’obligation de
passer par elles pour réaliser une transaction

Gain de pouvoir d’achat des ménages pour la consommation donc
gain potentiel de croissance

Augmentation des transactions grâce à la baisse des loyers…

 

La limitation du taux d’effort à 20% du revenu mensuel
pour se loger

Que ce soit un loyer ou un remboursement de prêt immobilier,
il doit rester limité à 20% du revenu lors de la transaction

Le gouvernement peut décréter rapidement une limitation à
20%

:une loi suffirait

On réalisera donc une augmentation du pouvoir d’achat par la
compression de certaines dépenses

Inconvénients :

Pour les propriétaires  : ramener les remboursements de prêts immobiliers
des résidences principales à 20 % maxi du
revenu implique d’allonger la durée du prêt pour l’emprunteur, les banques
supporteront les intérêts supplémentaires, car l’emprunteur a déjà à subir la
baisse forcée de la valeur de son bien

Pour les locataires : un taux d’effort encadré empêche de
vouloir dépenser plus pour se loger (plus grand par exemple)

Avantages :

Gain de pouvoir d’achat des ménages (propriétaires ou
locataires) pour la consommation donc
gain potentiel de croissance

Ce gain serait estimé à environ 10% des revenus des ménages ,
car le taux d’efforts actuel tourne autour d’un tiers des revenus mensuels

 

Evidement  : il existera toujours des aménagements
pour les biens d’exception

tout ne doit pas être encadré et nivelé par le bas, à partir
du moment où cela reste une exception…

Plus sur http://netreferendum.pagesperso-orange.fr/le_logement.htm

 

 

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